Fresque du Climat : une initiative heureuse pour une Université engagée

#SAVE THE DATE : 16 septembre 2021, la fresque du climat !

Les « fresques du climat » sont des ateliers ludiques proposés aux salariés pour les sensibiliser aux impacts du réchauffement climatique sur leur vie professionnelle et personnelle. L’initiative lancée par l’Université de Tours d’impliquer les étudiants et les salariés est un pari ambitieux, pas simplement par le nombre d’animateurs à mobiliser (300) et du nombre de participants attendus (5.000) mais parce qu’il s’agit de sensibiliser les salariés aux enjeux d’une transition écologique juste.

© Simon-LAMBERT-HAYTHAM-REA

Il s’agit d’une initiative qui s’inscrit pleinement dans les 66 propositions du pacte de pouvoir de vivre porté par la CFDT et de nombreuses associations environnementales, d’éducation populaire, de lutte contre la pauvreté, de soutien à l’accueil des migrants ; syndicats, fondations et mutuelles.

Alors une date est à retenir, celle du 16 septembre 2021 mais avant … l’université recherche 300 futur.es animatrices et animateurs, étudiant.es et personnels pour animer les ateliers d’intelligence collective ludique qui permet d’appréhender le fonctionnement du climat, comment tout est lié et pourquoi il est essentiel d’agir.

C’est un jeu de 42 cartes basé sur les données du GIEC, qui est la référence scientifique internationale en matière de changement climatique. Les participants doivent poser ensemble les cartes sur une table et les relier entre elles pour former une Fresque présentant des causes et des conséquences du dérèglement climatique.

Pour en savoir plus, une vidéo, c’est ici !

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RÉCONCILIER TRANSITION ÉCOLOGIQUE ET JUSTICE SOCIALE POUR CONSTRUIRE UN AVENIR PARTAGÉ

L’urgence du changement climatique, la montée des inégalités et l’augmentation des mobilités en France, en Europe et dans le monde, ne nous permettent plus de perpétuer un modèle aujourd’hui épuisé. Notre mode de développement nous prive aujourd’hui de notre avenir. Nous n’avons donc pas d’autre choix que de changer de modèle.
Il n’y a pas à opposer justice sociale et protection de l’environnement, efficacité économique et qualité de vie. Il est essentiel que l’ensemble de la population puisse intégrer et participer équitablement à la transition écologique, et profiter de ses bénéfices possibles (santé, emplois, économies, etc.). Laisser les plus fragiles à l’écart de cette transformation et de ses opportunités serait profondément injuste et tout simplement inacceptable.

 

 Le syndicalisme a été et reste un outil de transformation sociale ; aujourd’hui, il doit devenir incontournable face à l’urgence climatique.