INSERM : ITA et Chercheurs soutiennent la démarche du Sgen-CFDT

Des résultats qui valident le travail réalisé par les élu.e.s sortant.e.s mais aussi la politique d'accompagnement.

Le Sgen-CFDT devient majoritaire à la fois chez les chercheurs et chez les ITA

Les élections des représentants du personnel au conseil d’administration de l’Inserm, dont le dépouillement est intervenu le 2 février 2021, placent le Sgen-CFDT Recherche EPST en tête, en nombre de suffrages exprimés, tant dans le collège des ITA (41,7 %) que, pour la première fois, dans celui des chercheurs (35,7 %).

Globalement, le Sgen-CFDT Recherche EPST est majoritaire dans les élections au conseil d’administration de l’Inserm au moins depuis 2008, où il représentait 33 % des suffrages exprimés.  Les élections de 2021, dont le dépouillement a eu lieu le 2 février, voient le Sgen-CFDT reprendre très nettement l’avantage, avec 39 % de l’ensemble des suffrages exprimés.

 

Représentativité dans le collège des chercheurs

C’est la première fois que le Sgen-CFDT obtient la majorité des voix dans le collège des chercheurs (35,7 %), où il était systématiquement devancé par le SNCS-FSU (30,4%). Celui-ci a toutefois perdu 10 points entre les élections de 2016 et de 2021.

Représentativité dans le  collège des ITA

Dans le collège des ITA, le Sgen-CFDT s’était fait distancer par le SNTRS-CGT en 2013 mais ce dernier syndicat est depuis en perte de vitesse et, cette année, perd 7 points par rapport à 2016. Il est par ailleurs à noter que le SNPTES a pour sa part progressé de 10 points dans le collège des ITA et, pour sa première présentation au collège des chercheurs, arrive en 3e position et obtient 1 siège. Cette percée du SNPTES a ainsi fortement contribué à rebattre les cartes de la représentativité. Le Sgen-CFDT est largement en tête avec 41,7% des suffrages.

Évolution de la participation

Le taux de participation à ces élections est en hausse sensible, confirmant une remontée amorcée en 2013, après une baisse intervenue en 2008. Tous collèges confondus, le taux de participation est de 48,6 %, en augmentation de 7 points par rapport à 2016. C’est chez les chercheurs que la participation a été la plus forte : 51,6 %.

Ces résultats valident le travail réalisé par les élu.e.s sortant.e.s mais aussi la politique d’accompagnement dans la gestion des carrières et des salaires dans le cadre de l’accord LPR lié aux revalorisations. Retrouvez le  protocole-carrières-rémunérations-sup-4_11