Maltraitances répétées dans un service du Rectorat à Orléans : ça suffit !

Depuis plusieurs mois, le Sgen-CFDT Orléans-Tours agit auprès des personnels du rectorat à Orléans pour mettre fin à, des situations de maltraitance au sein de la Délégation Académique à la Formation Professionnelle Initiale.

Entre le 12 juin et le 12 juillet 2017, le Sgen-CFDT Orléans-Tours a eu à traiter avec le rectorat de la maltraitance que subissent plusieurs agents de la Délégation Académique à la Formation Professionnelle Initiale et Continue (DAFPIC) avec leurs cadres, notamment la responsable elle-même.

Lire : https://orleans-tours.sgen-cfdt.fr/actu/administratifs-en-souffrance/

D’audience en audience…

Le 21 septembre 2017, une nouvelle audience a été accordée au Sgen-CFDT Orléans-Tours par M. Daumin, Secrétaire Général du Rectorat et Mme Brunet-Tessier, Déléguée académique. Les représentants du Sgen-CFDT ont présenté un exposé des faits, des effets et des besoins : ce qui a été observé, ce que cela a induit chez les personnels et ce dont ils ont besoin pour mener à bien leurs missions.

Le Secrétaire Général (SG) a lui-même jugé l’exposé très précis, avec des observations classées. La Dafpic a reconnu qu’il y a un gros malaise depuis 4 mois, depuis le rapprochement des services. Selon elle, le climat délétère est entretenu par quelques personnes, des leaders qui mettent la pression sur leurs collègues.

Un climat délétère

Le SG a rappelé que, avant même le rapprochement des services, 1/3 des agents souhaitaient changer d’affectation (4 ou 5 en mars-avril), il l’a senti lors de ses entretiens de février-mars avec les agents. La Dafpic s’est dit très attentive à la qualité de vie et au bien-être au travail.

Maltraitance : ce qui a été observé

  1. Lors de la réunion de rentrée Dafpic et GIP, les agents ont été choqués de voir que la déléguée académique et son adjoint sont partis avant la fin sans s’excuser et sans dire un mot. Mme la Dafpic nous répondu que les personnels étaient informés qu’elle et son adjoint devaient se rendre à d’autres réunions. Elle a appris qu’il y a eu un incident à la fin de cette réunion, au sujet de l’interdiction d’user de téléphones portables personnels, mais elle s’interdit de désavouer ses collaborateurs. De toute façon, elle estime qu’il y a des gens qui abusent de leur téléphone portable (sur leur temps de travail).
  2. Pour les agents, la Déléguée académique semble déléguer beaucoup, voire trop. La Directrice du GIP paraît aux agents surchargée de travail. Le même phénomène a été observé chez l’agent comptable. Mme la Dafpic se flatte de déléguer à ses collaborateurs.
  3. Des agents déplorent que la Dafpic ne laisse que très rarement des écrits aux agents, ne répond pas à leurs mèls, ne rédige aucune consigne ni feuille de route , que ses consignes sont rarement claires, filées en coup de vent et de façon inintelligible, certaines peuvent être laissées sur un simple post-it. Mme la Dafpic nous a affirmé qu’elle répond toujours aux mèls, que, sur les feuilles de route, elle est 100 % d’accord mais que cela ne s’écrit pas seul et que c’est elle qui a initié les lettres de mission, elle y travaille avec eux actuellement, mais il faut passer du temps à formaliser.
  4. Selon des agents, Mme la Dafpic s’entoure de collaborateurs nouveaux avec un favoritisme qui frise le népotisme. Le SG s’est dit gêné par cette remarque, beaucoup ; il nous a semblé vouloir vérifier cette accusation.

Des agents ont entendu que Mme la Dafpic se targue volontiers d’être très proche du Secrétaire Général et laisse entendre aux agents qu’elle a son total soutien. Ce qui dissuade toute tentative de discussion. Ce point n’a pas eu de réponse et nous avons trouvé ce silence significatif : le SG n’a pas devant nous réaffirmé son soutien à la Dafpic. Lire  ci-dessous Un complément bien venu ?

  1. Des collaborateurs de la Dafpic cumulent les missions et les fonctions. Le SG juge que le « modèle Dafpic » (en tant que structure) est souhaitable mais constate que l’on a seulement juxtaposé les structures antérieures, peut-être sans en renforcer les moyens.
  2. Selon les agents, Mmes la Dafpic et l’agent comptable se permettent de crier après des agents quand elles sont mécontentes. L’agent comptable se serait permis d’émettre des menaces verbales aux agents qui expriment des réserves : les mécontent·e·s n’ont qu’à aller se faire voir ailleurs ! Ont été aussi entendues des remarques frisant l’intimidation antisyndicale, des remarques mesquines (l’interdiction de manger au bureau, les pauses tabac, la présence d’un téléphone portable), et des retards à accorder les droits à congé. La Dafpic nous a affirmé qu’elle ne crie jamais. Elle estime que, si l’on était « en proximité », cela ne se passerait pas ainsi. Elle reconnaît qu’elle « court beaucoup », avec beaucoup de réunions à l’extérieur. La Dafpic estime que la remarque de sa collaboratrice sur le téléphone portable était une maladresse. Sur les retards à congés, le SG donne le contre-exemple d’une personne qui a demandé, avec une grande désinvolture, un congé la veille au soir pour le lendemain matin : pas étonnant qu’elle n’ait pas eu de réponse ! De même, il juge excessif et anormal l’usage exagéré de la communication par mèl quand il suffit de se parler.
  3. Les collègues se plaignent que des règles propres à la Dafpic et au GIP supplantent le règlement du Rectorat, non appliqué. Ainsi la circulaire rectorale sur les aménagements d’horaires lors des fortes chaleurs n’a pas été communiquée aux agents de la Dafpic. D’autres circulaires ne leur ont pas été transmises (dates de fermeture du rectorat pour les congés, mode d’accès à divers concours, demi-journée offerte pour Noël par le Secrétaire Général, refusée par l’agent comptable). La Dafpic affirme que le règlement intérieur du Rectorat s’applique dans son service. La 1/2 journée du 24 décembre a été accordée aux agents qui étaient de service à ce moment-là, seulement à eux, et sans récupération possible pour les autres. Mais, pour la Dafpic, « nous sommes une délégation », pas un Etat dans l’Etat.
  4. Des agents constatent qu’il leur est toujours demandé de remplir deux demandes pour tout congé donc y compris sur le logiciel du GIP, la « base-congés » où il faut demander d’abord l’autorisation avant de saisir le congé, s’il est accordé, dans la pointeuse du rectorat. Celle-ci a l’avantage de calculer pour chaque quinzaine les RTT possibles en cas d’heures supplémentaires, mais cela ne vaut pas pour les agents de la Dafpic. Le SG trouve que le logiciel de Nancy-Metz permet d’avoir une vision globale, que la DSI le juge intéressant et qu’il faudrait étudier son articulation avec la pointeuse du rectorat. Mme la Dafpic rappelle qu’il y a 3 campagnes de congés par an : on ne pouvait retourner les feuilles que lorsque toutes étaient revenues, mais l’étape papier a été supprimée. Les seules personnes qui continuent à s’en servir sont les ex de la DAE – parfois au dernier moment – alors que son utilisation a été suspendue.
  5. Le turn-over d’assistantes et d’inspecteurs est important : on en est à la 6ème assistante de direction en 5 ans ! Selon Mme la Dafpic, les changements d’assistantes s’expliquent dans chaque cas par des choix de mobilité individuelle, mais elle reconnaît que cela donne une image de manque de stabilité sur ce poste. Mais, dit-elle, on ne peut pas, au GIP, proposer un CDI d’entrée de jeu, il faut commencer par un CDD. Le SG admet ce manque de stabilité et imagine une stratégie de mise à disposition d’agents du rectorat. Sur les changements d’inspecteurs, la Dafpic voit uniquement ceux du SAIA.
  6. Les collègues de la Dafpic nous ont fait remarquer que les déléguées du personnel mentionnées dans l’organigramme ne le sont que pour le GIP. Les agents se demandent quel est leur rôle exact : potiches ? Personne n’a envie de siéger. Pour quoi faire ? Au mois de mars il n’est resté que 4 des 21 questions posées au CA par les agents. Pourquoi un tel filtre ? Cette censure s’est faite sans explication de l’agent comptable. Pour la Dafpic, il n’y a eu ni censure ni rétention, mais elle s’interroge sur le retour que les déléguées ont pu faire. Simplement, il y a des questions qui ne relevaient pas de la compétence du CA (problèmes de photocopieuse…)
  7. Des agents nous ont dit que les heures supplémentaires non récupérées s’accumulent. Selon la Dafpic, seulement deux personnes sont concernées, les assistantes administratives n’ont pas à faire d’heures supplémentaires. Les deux personnes concernées n’étaient pas à leur poste pendant leur temps de travail contraint.
  8. Mmes le médecin et l’infirmière de prévention, depuis le mois de mars, se montrent très attentives aux souffrances individuelles liées au mal-être des agents dans leur travail. Très peu d’agents osent rédiger un compte-rendu détaillé de leur propre situation. Le SG confirme. La Dafpic se flatte d’avoir elle-même demandé que tous les agents du GIP et de la DAFCO aient un entretien individuel (55 personnes + 45 CFC du Loiret et d’Eure-et-Loir) : tous satisfaits. Elle-même y a participé !

Trois remarques n’ont pas eu de réponses :

Quand il n’y a pas de chef, il y a trop de chefs et c’est n’importe qui. Et quand des agents de catégorie C prennent des initiatives en l’absence d’un cadre supérieur, Mme la Dafpic le leur reproche vivement alors que, pourtant, il leur est demandé de faire preuve d’un certain sens de l’initiative : c’est de l’injonction contradictoire.

On constate qu’il y a de moins en moins de titulaires et de plus en plus de contractuels, statutairement beaucoup plus fragiles. Dernièrement, deux postes de chargé·e de mission (ETP d’enseignants) ont été pourvus sans que ces postes à pourvoir aient fait l’objet du moindre appel à candidatures.

Des apprentis ont été recrutés (certains avec un soupçon de népotisme) et entassés dans les bureaux, mais ils ne sont pas suivis par des tuteurs et leur tutorat retombe sur des agents de cat. C qui ne touchent rien pour cela.

 Ce que la maltraitance a induit chez les personnels

Nous avons pointé les craintes et le stress des personnels :

  • que Mme la Dafpic (qui semble avoir un peu amélioré son attitude depuis l’audience du 13 juillet) ronge son frein en attendant qu’ait eu lieu l’audience du 21 septembre de façon à lâcher ses mesures de rétorsion dès que ce sera passé.
  • que le stress et le climat de peur continuent comme avant l’audience de juillet
  • qu’ils éprouvent un gros mal être au travail, des implications sur la santé, sur la vie privée et sur la « productivité » des personnels.
  • que la perspective du double déménagement à venir (d’abord dans des préfabriqués puis avenue de Paris) inquiète les agents, pour qui c’est l’isolement géographique du GIP/DAFCO qui a permis d’arriver à cette situation et que la nouvelle configuration n’arrangera rien.

Le SG a admis que ce déménagement puisse être source d’angoisse et nous a révélé que le projet de locaux avenue de Paris est bien avancé mais le calendrier prévoit une ouverture en mars 2019. Dans l’immédiat, il déplore d’avoir obligation de vider les lieux à La Source. En revanche, il envisage une étape intermédiaire non dans des préfabriqués (refusés par la Ville d’Orléans) mais dans les locaux de l’ancien CIO de La Source. Installer là la Dafpic permettrait de regrouper les agents. Mme la Dafpic a ajouté que cela permettra un vrai « accueil du public » et le SG a semblé sûr que cela va refédérer les personnels sur un projet commun ; il a préconisé de réunir les agents pour échanger avec eux sur cette perspective.

Ce dont a besoin le personnel pour mener à bien ses missions

Le Sgen-CFDT a listé ce dont les agents ont besoin ; il faut que soient :

  • exprimées clairement les directives et consignes, avec des pistes bien définies, des feuilles de route, des fiches de poste actualisées (certaines attendent depuis mars!) pour que la réorganisation en cours cesse de ressembler à une grosse coquille vide.
  • rappelé aux cadres qu’ils doivent être présents, responsables et bienveillants, et cesser de se montrer suspicieux, évanescents, gesticulateurs et cumulards ; qu’ils doivent avoir des pratiques managériales respectueuses des agents, avec de la considération pour leur personne et pour leur professionnalisme ;
  • limitées les heures supplémentaires et, le cas échéant, récupérées ou compensées d’une façon ou d’une autre ;
  • arrêté le turn-over de cadres et de CFC
  • communiqué aux intéressé·e·s le compte-rendu de leur entretien d’évaluation professionnelle dans un délai raisonnable (15 jours) ;
  • clarifiées les relations de la Dafpic avec le CFA académique Nous avons senti que la Dafpic est un peu gênée de devoir représenter la Rectrice au CFA académique puisque celui-ci est géré par le GIP.

La Dafpic et le GIP doivent cesser d’être une principauté qui s’affranchit des règles communes de l’Etat au Rectorat, où tous les services n’ont qu’un seul règlement. Pour Mme la Dafpic, « nous sommes une délégation, pas un Etat dans l’Etat, nous sommes inscrits dans une politique académique. »

Le SG a trouvé la démarche du Sgen-CFDT positive car « vous proposez des axes de travail » de sorte que nous puissions…

sortir de là « gagnant-gagnant« .

Le SG a déclaré qu’il entend que les personnels veulent « travailler autrement« , sur un contenu plus lisible, et qu’il faut communiquer sur le modèle de management que le Rectorat recherche, imaginer des groupes de parole pour que chacun s’exprime ; il croit beaucoup aux séminaires et cite ce que fait  le Chef de la DPE avec les 80 agents de la DPE pour que les gens se parlent.

Mme la Dafpic s’est dite prête à ces groupes de parole. Néanmoins elle a rappelé que le GIP a déjà un Comité Technique et c’est, selon elle, peut-être une source de frustration pour les autres personnels.

 

En conclusion, le Sgen-CFDT Orléans-Tours constate que, depuis son audience du 13 juillet et ses alertes antérieures, il n’y a pas d’amélioration significative des conditions de travail des personnels de la Dafpic. Sans parler de conflits antérieurs qui ont mené l’ancienne directrice du GIP FTLV. devant les Prud’hommes et le Tribunal Administratif.

Les agents ont besoin de fiches de poste, de considération et d’un allègement de leur charge de travail, ou, à défaut d’allègement, de pouvoir effectuer leur travail dans de bonnes conditions.

En conséquence, le syndicat va continuer à communiquer sur ce thème, qui est une honte pour l’institution, et va accéder au désir de plusieurs collègues que l’action s’élargisse à une intersyndicale comprenant A&I-Unsa. Nous avons depuis contacté des responsables d’A&I Unsa sur cette affaire : une élue d’A&I Unsa au CTSS y a déjà signalé les souffrances des personnels de la DAFPIC.

Le Secrétaire Général a souhaité remettre le compteur à zéro, restaurer la confiance, et Mme la Dafpic a dit souhaiter faire confiance car « on est dans un travail collaboratif, collectivement« .

Un complément bien venu ?

Le premier jet du compte-rendu de notre audience a été envoyé le 22 septembre à quelques collègues seulement, mais il est arrivé sous des yeux auxquels il n’était pas destiné, ceux de M. le Secrétaire Général qui, par un message le 26 septembre, réagissait sur un point à l’attention de tous les agents de la DAFPIC :

« Ce compte rendu fait état d’un manque de confiance que j’aurais exprimé en gardant le silence au moment où la question des relations entre la DAFPIC et le secrétaire général d’académie s’est posée. Si j’ai été à l’écoute des affirmations exprimées par le syndicat, mon silence n’a pas à être interprété. Je me dois de réaffirmer ici tout le soutien que nous accordons à la déléguée académique et à ses équipes, soutien sans faille qui s’ajoute à ma volonté de vous apporter toutes les réponses aux questions ou attentes que vous pourriez vous poser. »

Loin de nous inquiéter, ce message nous réjouit, et ce pour trois raisons :

  1. Le Secrétaire Général fait auprès de l’ensemble des agents de la Dafpic de la publicité à l’audience qu’il a accordé au Sgen-CFDT, c’est fort aimable à lui.
  2. Il confirme qu’il a bien eu un silence (dans le compte-rendu, il était seulement écrit : Il y a des silences significatifs : le SG ne réaffirme pas son soutien à la Dafpic. L’interprétation de ce silence est libre, sa signification n’est pas indiquée dans ce commentaire qui lui-même se présentait en italique et ne fait pas état d’un « manque de confiance »)
  3. Que le Secrétaire Général s’empare de ce commentaire pour communiquer sur ce point est une excellente chose car l’occasion lui est ainsi donnée, par le Sgen-CFDT, d’exprimer « tout le soutien » qu’il accorde non seulement à Mme la Dafpic mais aussi « à ses équipes » !

C’est pourquoi nous ne manquerons pas de remercier le Secrétaire Général d’avoir adressé un tel message aux personnels, et d’avoir ainsi prouvé l’efficacité du Sgen-CFDT.

Le déni du 17 octobre

Lors d’une réunion avec les personnels de la Dafpic, le 17 octobre, Mme la Dafpic est revenue sur le sujet de notre audience du 21 septembre dans des termes dont l’écho nous est parvenu. Visiblement elle n’a pas apprécié d’être placée par le Sgen-CFDT face au miroir des errements de certains responsables de la Dafpic.

Elle préfère rester dans le déni, quitte à maintenir un climat de terreur sur une majorité d’agents.

Elle n’a pas compris que le Sgen-CFDT n’attaque jamais les personnes mais qu’il est capable de dénoncer leurs méthodes et leurs agissements dès lors qu’ils sont nuisibles à de bonnes conditions de travail et au respect des personnels. On sait que se poser en victime d’attaques injustifiées est la stratégie plus ou moins inconsciente de la plupart des auteurs de harcèlement moral. Prétendre agir au nom d’une hiérarchie supérieure pour justifier ses propres abus est également une technique perverse bien connue. Demander la dénonciation des agents qui ont signalé les problèmes au syndicat est également une pratique d’intimidation destinée à empêcher la libération de la parole. Déconsidérer l’expression d’un syndicat en l’accusant de parler à tort au nom de tous les agents est aussi une vieille façon de biaiser : il nous suffit que quelques agents osent nous confier leurs difficultés pour que nous intervenions.

Elle se plaint d’être accusée d’avoir évincé deux de ses collègues sur la base d’un document dont il serait intéressant de connaître par quel cheminement il lui est arrivé.

Nous publions cet article juste avant le CTSS (où le Sgen-CFDT demande à l’Unsa de revenir sur ce sujet) et le CTA de la semaine prochaine.

Notre objectif est de mettre fin définitivement au climat délétère et à la maltraitance dont souffrent des agents de la Dafpic.

Le Sgen-CFDT Orléans-Tours reste extrêmement attentif aux conditions de travail des personnels de la Dafpic et particulièrement vigilant sur :

  • la liberté des agents d’exercer leur droit de se réunir sans avoir de comptes à rendre quand c’est en dehors des heures de travail,
  • leurs droits syndicaux d’une manière générale.

Le Sgen-CFDT Orléans-Tours se réserve la possibilité de dénoncer publiquement et auprès du Ministère toute apparence de tentative – par intimidation, menace voilée, harcèlement – de la part de la hiérarchie du Rectorat d’entraver les droits du personnel à exercer les libertés et droits ci-dessus.