Université de Tours : au fil des dossiers n°49 (sans censure !) …

La CFDT est le premier syndicat des personnels de l’Université de Tours. Ses élu.e.s vous aident au quotidien.
Vie des instances, politique d'établissement, Au fil de dossiers pour garder le lien ....

Le temps des concours : les + du Sgen-CFDT …

Les campagnes d’inscription aux concours ITRF (internes et externes), aux examens professionnels d’avancement de grade nationaux (ingénieur de recherche hors classe, technicien de recherche et de formation de classe exceptionnelle et de classe supérieure) et académiques (adjoint technique principal de 2ème classe hors recrutement sans concours d’Adjoint Technique de Recherche et Formation – ATRF), aux examens professionnels exceptionnel d’ASI et aux listes d’aptitudes exceptionnelles d’IGR et d’IGE,  seront ouvertes du 30 mars 2023, 12 heures, au 27 avril 2023, 12 heures.

Les inscriptions seront à réaliser sur le site Webitrf : https://www.itrf.education.gouv.fr/itrf/menuSUIInput.do

Vous trouverez les ouvertures de concours pour 2023 sur le site suivant : https://www.univ-tours.fr/l-universite/recrutement/recrutement/concours-itrf-2023-etablissement

La  campagne des recrutements sans concours d’Adjoint Technique de Recherche et de Formation – ATRF organisée par l’université de Tours sera également ouverte aux mêmes dates.  Les avis d’ouverture et les dossiers de candidature seront disponibles sur le site internet de l’établissement.

La DRH a réalisé un travail important de clarification et de synthèse des différents concours et modalités de recrutement. Retrouvez le détail des informations dans la nouvelle rubrique du site intranet qui centralise les informations relatives aux campagnes des personnels : https://intranet.univ-tours.fr/version-francaise/drh/campagnes-des-personnels

Et pour répondre à vos interrogations et questions, le Sgen-CFDT vous propose un temps d’échanges le vendredi 14 avril  de 12h30 à 14h00 dans le cadre d’un café syndical sur teams. Pour s’inscrire c’est ici.


Pour rappel, un temps de préparation personnelle aux concours est mobilisable par les candidats, via le Compte Personnel de Formation (CPF). Ce dispositif permet aux agents titulaires et contractuels qui relèvent des dispositions de la loi 83-634 du 13 juillet 1983, d’acquérir des droits de formation. Ces droits prennent la forme d’heures qui peuvent également être mobilisées pour bénéficier d’un temps de préparation personnelle à un concours, dans la limite de 5 jours au total par année civile. (1 jour = 6 heures décomptées). Pour solliciter cette mobilisation de temps, vous trouverez ci-joint le formulaire. En cas d’avis défavorable, celui-ci doit être motivé par écrit et vous pouvez saisir vos élu.e.s CFDT pour un appel en commission paritaire d’établissement.


Blocage du site des Tanneurs : un stress et une pression accrus pour les personnels

Depuis maintenant quatre semaines, un des sites principaux de l’Université de Tours accueillant 8.000 étudiants est bloqué avec comme conséquence la suspension des activités scientifiques, pédagogiques et culturelles. Devant cette situation, la direction de l’Université reste démunie et au dernier conseil d’administration, aucun élu ne s’est avisé à donner des conseils de gestion de crise. Pourtant des étudiants, des personnels administratifs et scientifiques, des enseignants-chercheurs pâtissent de cette situation qui génère stress, angoisse, colère …

Avec des assemblées générales étudiantes oscillant entre 450 et 200 étudiants, le blocage du site est reconduit d’AG en AG. Les étudiants mobilisés estiment que ce moyen d’action reste le plus propice à leur mobilisation contre la réforme des retraites.

Si l’ensemble des organisations syndicales sont mobilisées contre la réforme des retraites, si l’ensemble des élu.e.s au conseil d’administration (Ensemble, Autrement, Portons tous les talents) se sont exprimés contre la réforme des retraites, la modalité d’action proposée dans ce contexte  nous interroge. Le Sgen-CFDT avait appelé dés la première semaine à trouver d’autres modalités d’actions qui permettent de renforcer le mouvement et de ne pas opposer les personnels et les étudiants et de pas fragiliser les étudiants les plus précaires socialement et scolairement.

Aujourd’hui, les personnels sont en première ligne pour répondre aux sollicitations des étudiants qui réclament relevés de note, diplômes ou attestation de réussite mais elles et ils le  font avec des conditions travail fortement dégradées. Les risques psycho-sociaux sont réels : pression des mails, pression des étudiants qui attendent des réponses, défaut de moyens et télétravail subi. Parlez-en avec vos élu.e.s à la formation spécialisée Sécurité et Santé au travail.

Formation des enseignants-chercheurs

Le Centre d’accompagnement à la pédagogie des enseignants présentait au Comité Social du 30 mars les évolutions du dispositif de formation à destination des nouveaux maitresses et maîtres de conférence en y intégrant des modules liées à la pris en charge des étudiant.e.s en situation de handicap ou encore un module optionnel sur l’enseignement et transition écologique.

Le décret de 2017 a marqué une étape majeure dans la prise en compte des missions d’enseignement des enseignants-chercheurs.

Les pratiques pédagogiques évoluent, elles se transforment. À l’université aussi. Depuis quinze ans, la recherche en pédagogie universitaire a montré l’importance de modifier l’enseignement dans le supérieur. Face à l’arrivée massive d’étudiants, à la diversification de leur profil et de leur niveau, la formation à la pédagogie des enseignants chercheurs est indispensable. Reconnaître, professionnaliser et promouvoir l’enseignement et les missions d’accompagnement pédagogique dans le supérieur sont des revendications depuis longtemps portées par certaines organisations syndicales. Le développement de structures de formation dans les universités comme du CAPE est indispensable.

La présentation du plan de formation des nouveaux maîtres de conférences est l’occasion de le préciser à nouveau. Le plan de formation a été adopté par la FSU, l’UNSA et le Sgen-CFDT, FO quant à elle pense que la formation des enseignants, c’est un peu comme l’esprit Saint, c’est naturel…

A…politique

Se présenter à un scrutin qui détermine la politique scientifique et pédagogique mais également la politique en matière de ressources humaines, de politique salariale et indemnitaire, de mise en place des politiques publiques, de construction d’une politique internationale est tout sauf apolitique. Et lorsque les tenants d’une orientation apolitique votent également une motion de soutien au mouvement social, une motion demandant une augmentation des subventions de l’Etat, on peut s’interroger légitimement sur la sincérité de tels votes. Nous appelons donc les enseignants et enseignants-chercheurs concernés à choisir la candidate Beatris BARREIRA qui se prononce clairement pour la défense des valeurs d’une université ouverte, plurielle et démocratique et exprime des revendications qui sont partagées par une très grande majorité des personnels de notre université.

A…nachronique

En plein mouvement social au cœur d’une crise sociale sans précédent, résultat entre autres de la négation du rôle des organisations syndicales par le président de la République comme acteurs incontournables du dialogue social, le positionnement de candidats asyndicaux nous interroge sur une posture qui découle plus d’un antisyndicalisme que l’on retrouve dans la cour élyséenne.

A…mbition

Voilà l’équipe présidentielle manque … d’ambition car l’établissement ne candidate par aux chaires de professeurs juniors. Telle est donc la remarque formulée par les élus de « Portons Tous les talents ». Car il en faut du talent pour accepter de proposer un dispositif qui vient fracturer le corps des enseignants-chercheurs (lire l’analyse du Sgen-CFDT sur les CPJ) et pour lequel les premiers bilans réalisés par le ministère sont loin d’être unanimes sur le bénéfice de ce dispositif. Ainsi à Rennes 1 (faculté de Médecine entre autre), le vice-président RH de cet établissement explique dans un média spécialisé que « les candidatures sont variables d’une chaire à l’autre ; seulement deux ou trois pour l’une, une dizaine pour une autre. Mais jamais des chiffres extraordinaires ». On retrouve la même critique du côté de l’INSA Lyon où les trois CPJ ouvertes pour 2021 ont attiré moins de candidats qu’espéré avec comme résultat un seul poste fut pourvu.

Le Sgen-CFDT préfère amplement la politique de repyramidage à des dispositifs de Chaire de professeur junior qui permet le recrutement de contractuels (encore et encore…)

A…gir

En moins de quinze jours, l’Université en lien avec la Région, la Métropole, la préfecture de Région a proposé de repositionner les crédits du Contrat de Plan Etat-Région destiné au Pôle Biologie sur Trousseau qui tombe à l’eau, le CHRU ne pouvant donner suite à un projet qui connaissait une hausse exponentielle des coûts de construction. Ainsi, dans le cadre du débat des orientations budgétaires et adoptés à l’unanimité, les crédits du CPER 2021-2027 seront réorientés sur les projets suivants :

  • Polytech : crédits supplémentaires au projet de restructuration, 9,5 millions d’euros
  • Tanneurs : crédits supplémentaires liés à la rénovation du bloc Thélème, 6 millions d’euros
  • UFR d’odontologie : 6,4 millions d’euros
  • UFR Médecine, bâtiment de biologie, 6,5 millions d’euros
  • Réhabilitation des bâtiment G, E et I à Grandmont :10,6 millions d’euros
  • Construction halle des sports : 2 millions d’euros (+2 millions via la CVEC)
  • Résidence Crous Portalis : 1,4 millions d’euros

A ces projets s’ajoutent 3,5 millions pris sur le fond de roulement et 7,11 millions d’euros via un emprunt.

Cette nouvelle programmation dont l’objectif est bien faire sortir de terre ces nouvelles constructions et réhabilitations d’ici 2027 marque une ambition renouvelée et une nouvelle dynamique pour notre université saluées notamment par le nouveau vice-président de la Métropole en charge de l’Enseignement supérieur.

Ce nouveau schéma et calendrier s’inscrivent bien dans une rupture où il avait fallu près d’un mandat pour se lancer dans l’utilisation de crédits du CPER 2017-2021, désespérant en particulier les collègues de la BU qui ont dû attendre plus de cinq ans pour voir un projet se concrétiser.

L’agenda de la semaine, le 13, c’est la 12ème en attendant le 14

  • 11 avril, groupe de travail politique salariale des CDI enseignants
  • 12 avril, rencontre avec Catherine Nave-Bekhti (voir pièce jointe) à la MSH (16h)
  • 13 avril, place Jean Jaurès à 14h00, on bat le pavé #64c’estNon
  • 12 et 13 avril, vote des enseignants et enseignants-chercheurs
  • 14 avril 12h30 à 14h00 – café syndical spécial Concours biatss, cliquez ici.
  • 14 avril, décision du Conseil Constitutionnel

Statuts de l’université, une évolution qui renforce la vie démocratique de notre établissement …

Après la mise en place d’une présidence du Conseil académique (CAC) qui n’est plus présidé par le président de l’Université mais par une/un collègue élu par les membres de ce conseil supprimant ainsi un pouvoir exorbitant au président de l’Université, les nouvelles modifications statutaires de l’Université ont été l’occasion de préciser nos fonctionnements et de garantir une vie démocratique construite sur le dialogue et le compromis tout en ayant la capacité d’agir.

Les nouveaux statuts donnent un cadre clair dans le processus électoral qui conduit à l’élection du président de l’Université. Il faut noter un nouveau décompte des votes favorables pour adopter une délibération. Désormais, sauf dispositions législatives ou règlementaires contraires, la moitié des membres en exercice doivent être présents ou représentés en début de séance pour que les délibérations soient valides. Par ailleurs, une délibération est approuvée lorsqu’elle obtient la majorité absolue des suffrages exprimés (et non plus la majorité absolue des membres présents et représentés). Toutefois, ces délibérations ne sont approuvées si la somme des abstentions et des votes blancs et nuls est supérieure ou égale aux suffrages favorables. Dans une telle hypothèse, un nouveau tour de scrutin doit être organisé.

Voici un exemple :
Nombre de membres constituant le conseil : 36
Nombre de membres en exercice : 35
Membres présents et représentés : 25
Abstentions : 11
Blancs ou nuls : 0
Suffrages exprimés : 14
Pour : 8
Contre : 6
Le quorum (18) étant rempli en début de séance, le conseil peut valablement délibérer. La majorité requise pour l’approbation de la délibération s’élève à 8 voix, le projet de délibération a obtenu 8 voix favorables. Toutefois, la somme des abstentions et des votes blancs et nuls (11) est supérieure au nombre de votes pour (8). Par conséquent, un nouveau tour de scrutin doit être organisé.
Le Sgen-CFDT a voté favorablement ces modifications et les élus au conseil d’administration également et à l’unanimité.
Ces nouvelles règles s’appliquent à compter du 4 avril 2023. Elles sont opposables à tous les conseils centraux de l’université (CA, CAC, CFVU, CR), quelle que soit leur formation (plénière ou restreinte). En ce qui concerne les conseils de composante, ces règles sont supplétives. Elles ne s’appliquent donc qu’en cas de silence des statuts de la composante sur les questions de quorum et de majorité. Vous pouvez retrouver les statuts de l’université, ainsi que les annexes aux statuts et le règlement intérieur, sur Internet à l’adresse suivante : https://www.univ-tours.fr/l-universite/recueil-des-actes/statuts.

Politique indemnitaire des enseignants-chercheurs, l’Etat doit respecter ses engagements

Au Comité social d’administration du 30 mars, le Sgen-CFDT demande à connaître la trajectoire indemnitaire liée au déploiement de la prime fonctionnelle. Celle-ci doit attendre entre 20 et 30% de la dépense faite au titre de la composante statutaire et peut concerner 35% des effectifs des enseignants-chercheurs.

Les nouvelles dispositions prévoient que les E-C bénéficiaires de la composante fonctionnelle peuvent être autorisés à convertir, pour tout ou partie, cette indemnité fonctionnelle en décharge de service, par décision du président, selon des modalités définies par le conseil d’administration et cette décharge de service ne peut excéder les deux tiers des obligations statutaires des services d’enseignement applicables aux E-C. Leurs bénéficiaires ne peuvent être autorisés à effectuer des enseignements complémentaires.

La prime fonctionnelle, la prime C2 n’est pas que le simple transfert des PCA avec un changement de nom. Elle vise bien à revaloriser massivement l’investissement des enseignants-chercheurs dans leur activité d’encadrement pédagogique et d’animation des équipes.

En corolaire à cette prise ne compte de cet investissement, il est nécessaire de préciser et d’harmoniser le périmètre d’activités des tâches pédagogiques.

Dans cet esprit, les élu.e.s du Sgen-CFDT demande de revoir le périmètre d’attribution de la prime fonctionnelle, d’élargir les potentiels bénéficiaires et de préciser le référentiel des tâches des enseignants-chercheurs.

Par ailleurs, alors que le Sgen-CFDT revendique l’égalité de traitement quant au versement de la prime statutaire (PES vs Ripec 1) pour les enseignants du second degré affectés dans l’enseignement supérieur, le Sgen-CFDT revendique le même traitement indemnitaire pour les collègues en responsabilité dans les composantes que dans les IUT et Polytech.

Féminicide, en mémoire à Cécile Hussherr-Poisson

Il y a une semaine l’Université de Tours organisait un premier séminaire autour des violences sexistes et sexuelles au travail. Il s’agit d’un combat de tous les jours et de tous les instants pour combattre, dénoncer, prévenir les propos, les comportements sexistes et plus largement la violence. Et nous remercions encore l’équipe présidentielle et la mission égalité de leur investissement sans relâche sur ce sujet.

Si les violences existent au travail, elles existent également dans la sphère privée et notre action peut également prévenir cette violence domestique et ce d’autant plus que parce l’endogamie professionnelle est forte dans le champ professionnel que cette violence domestique peut également se retrouver au travail.

Alors le 30 mars 2023, plusieurs établissements et institutions de l’Enseignement supérieur de la Recherche organise un moment mémoriel à 15h30 en mémoire à l’assassinat de la sentinelle Egalité de l’Université Gustave Eiffel, Cécile Hussherr-Poisson

A ce titre, nous souhaitons vous faire partager la communication des sections CFDT, CGT, FSU et SUD Education de l’Université Gustave Eiffel et de l’UPEC.

Le 23 mars 2023, nous apprenions avec effroi le meurtre de notre collègue de l’Université Gustave Eiffel, Cécile Hussherr-Poisson, assassinée le 20 mars 2023 dans le hall de son immeuble par son ex-conjoint.

En France, près de 1400 femmes ont été tuées en dix ans par leur conjoint ou ex-conjoint. Le féminicide de Cécile Hussherr-Poisson nous touche particulièrement, nous qui exerçons la même profession d’enseignante et de chercheuse dans une université publique. Cécile Hussherr-Poisson, enseignante-chercheuse à l’Université Gustave Eiffel (UGE) en littérature comparée, et qui intervenait à l’INSPE à l’UPEC, était spécialiste des mythes et de leur réécriture ainsi que de l’écriture au féminin des langues anglaise et française. Elle était l’une des sentinelles Égalité d’UGE, réseau mis en place par sa Mission Égalité pour améliorer la prévention, entre autres, des violences sexistes. Elle était une collègue et enseignante reconnue et appréciée de toutes et tous.

Nous la nommons, nous ne l’oublierons pas. Elle nous manque déjà, ainsi que toutes les autres femmes que la violence patriarcale ôte à la société française dans l’indifférence des pouvoirs publics. Nous pensons à ses enfants et à ses proches.

Les lignes directrices de gestion changent la nature du dialogue social. Exemple : les critères de repyramidage

Les lignes directrices de gestion ou LDG déterminent le cadre de gestion des carrières, des promotions comme des mutations. Intégré lors de la mise en place de la loi sur la transformation de la Fonction publique, elles doivent irriguées le dialogue social dans tous les pants de la Fonction publique et toutes les catégories d’emplois.

L’objet est bien de coconstruire avec les partenaires sociaux, les corps intermédiaires des modalités transparentes et connues des modalités de gestion des carrières.

C’est dans ce cadre que l’établissement doit déterminer ces lignes directrices de gestion de la campagne de promotions des maîtresses et maîtres de conférences dans le corps des professeur.e.s des universités mais celles-ci doivent s’inscrire dans les orientations d’une politique publique qui rappelle que ce dispositif doit « améliorer l’accès des femmes aux corps supérieurs. À cet égard, il convient que les femmes soient mieux représentées dans ces voies de promotion interne que par la voie des concours et que les résultats de ces promotions respectent au niveau national la part respective des femmes et des hommes dans les grades de maîtres de conférences. »

Les propositions soumises à l’avis du Comité Social d’Administration répondent à cette attente de transparence, d’équité et de collégialité.

Néanmoins un paragraphe rentrait en contradiction avec des nombreux items proposés dans les LDG ministérielles comme celles de l’établissement. Un amendement du Sgen-CFDT a proposé la suppression de ce paragraphe et intégré à la délibération finale.

Enfin, le Sgen-CFDT est resté opposé à l’avis des directeurs de composantes et d’équipe de recherche sur les dossiers des candidats que souhaitaient intégrer des représentants de « Portons tous les talents » et ce pour deux raisons : cette politique de repyramidage concerne les déséquilibres au sein des sections CNU dont les membres peuvent être répartis sur plusieurs équipes de recherche ou de département et le repyramidage s’inscrit dans le cadre d’un dossier sur l’ensemble d’une carrière et non sur un temps cours qui est celui d’un directeur/trice d’une composante.

Ces LDG ont été adoptées par la CFDT (4), la FSU (3) et l’UNSA (1), quant à FO (2), ils préfèrent  s’abstenir d’une plus grande  transparence dans les critères de promotion.